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Mon p'tit clin d'oeil de la semaine

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Du 1ier au 29 février prochain, profitez de séances individuelles de coaching (en ligne - une heure) au tarif de 45€. Contactez-moi!

Lors de ces séances, nous pouvons aborder, par exemple:

• les situations que vous ne savez pas comment gérer avec votre chiot (mordillements, propreté, solitude, socialisation, etc),
• l'excitation,
• les promenades,
• les craintes,
• des difficultés de communication,
• ou tout autre problème auquel vous êtes confronté dans votre quotidien avec votre chien.

Mon objectif est de vous aider à mieux comprendre votre chien pour pouvoir l'aider, et pour que chacun retrouve équilibre et sérénité.

Je suis à votre disposition pour toute question!

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La plupart d'entre vous me lisent depuis environ un an maintenant, le temps file! Merci d'être là, merci pour votre intérêt et votre confiance. Et merci pour vos petits messages!

J'aimerais diffuser mes articles, ma perspective sur la relation personne-chien, de façon plus large, au-delà de mes contacts ou des personnes qui me suivent déjà. Alors j'ai un service à vous demander, pour démarrer 2024!

Ce serait super-génial-fantastique si vous pouviez transmettre cet email à vos contacts, ou partager mes publications sur Facebook. Un seul clic, de temps en temps, peut faire une grande différence!

Merci d'avance!

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Il y a quelques semaines, j'ai pris un énorme plaisir à photograhier les louloutes dans la neige! Des moments riches qui ressourcent...

Mini-story

Quand les choses sont compliquées pour nous, notre état d’esprit change. Nos émotions et notre physiologie aussi. Autant de signaux que nos chiens captent, intègrent et expriment à leur façon…

Dernièrement, Shaddaï a eu un mini-geste qu’elle n’avait jamais eu en presque 12 ans. En promenade avec la bande des quatre, elle a marché à mes côtés quelques pas (rien d’inhabituel là) et m’a fait une toute petite léchouille sur la main. Shaddaï ne lèche quasiment jamais, alors ce geste simple a une valeur particulière. Et je l’ai reçu comme le cadeau que c’est : sa façon de me dire « regarde, je suis là, avec toi ».

Dans un registre moins glamour, j’ai pris l’habitude de garder un œil sur les crottes de nos louloutes (surtout en promenade, c’est plus facile 😉), parce qu’elles me donnent des informations qui me permettent de veiller au mieux au bon état de leur flore intestinale. La semaine passée, les 4 louloutes qui m’accompagnaient avaient des selles molles, voire de la diarrhée. Je n’ai pas compris tout de suite. Mon premier réflexe est de réfléchir en termes d’alimentation. Ai-je donné quelque chose d’inhabituel ? Mais non, ce n’était pas le cas. Puis mon franc est tombé : grosse engueulade humaine à la maison ce matin-là. Ce n’est pas habituel pour nous ; pas du tout. Résultat : tout le monde est impacté…

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Aimer, c’est (entre autres) communiquer. La communication, c’est comme un courant bidirectionnel… on écoute, on reçoit ET on exprime, on partage. Si ça ne va que dans un sens, ce n’est plus vraiment de la communication.

Dans nos relations avec nos chiens, une des choses que nous exprimons, c’est notre satisfaction, souvent traduite par le terme de « renforcement ». Il y a toute une théorie, parfois complexe, qui accompagne ce concept : comment renforcer (friandises, caresses, langage verbal), quand renforcer (tout de suite après – systématique, différé, aléatoire), quand ne pas renforcer, comment adapter les renforcements aux circonstances pour « avoir plus de valeur que l’environnement », etc.

Ce sont des principes qui peuvent rester très théoriques, si nous n’y prenons pas garde. Distribuer une friandise, même de très grande valeur, de façon machinale, en mode « distributeur automatique », c’est un geste plutôt creux. Tout comme le fait de tapoter le chien sur la tête ou le flanc pour le féliciter pour un « travail bien fait ». C’est notre mental qui exécute, qui suit un mode d’emploi de renforcement positif.

Si ces gestes ne sont pas porteurs d’une intention sincère d’exprimer quelque chose qui vient du cœur, leur portée est plutôt limitée. Oui, sans doute, le chien comprendra-t-il que nous sommes satisfait. Mais on peut aller tellement plus loin ! Entrer dans un véritable échange.

Ce qui change tout, c’est d’être vraiment présent et intentionnel dans notre façon de communiquer. De laisser d’abord nos cœurs exprimer notre satisfaction, notre plaisir, notre bonheur… que ce soit pour un comportement que nous souhaitons souligner, ou juste parce que nous sommes heureux de leur présence dans nos vies.

Alors, la communication vient du cœur plutôt que du mental. C’est dans cet espace-là qu’on dépasse le concept du renforcement pour entrer dans une véritable connexion.

Pour entrer dans ce dialogue, pour pouvoir nous exprimer d’une façon qui sera reçue par l’autre, il est aussi important que nous apprenions comment l’autre fonctionne. Ce qui lui plaît, ce qui le laisse indifférent, ce qu’il n’aime pas. Si nous suivons le manuel et que nous caressons un chien sur le poitrail parce qu’il est écrit que c’est un endroit que les chiens apprécient, mais que le nôtre est mal à l’aise avec ce geste, notre intention d’entrer en contact et de faire plaisir ne sera pas rencontrée.

Chez les humains, on parle parfois des 5 langages de l’amour : les paroles valorisantes, les moments de qualité, les cadeaux, les services rendus, le toucher physique. Pour chaque individu, ces formes d’expression ont des valeurs différentes. Et si nous ne connaissons pas celles qui parlent le plus à notre partenaire, le message passera beaucoup plus difficilement. Si pour moi, ce qui compte le plus, ce sont les paroles valorisantes, ma tendance naturelle sera d’utiliser ce biais-là pour exprimer mon amour à mon partenaire. Mais si lui/elle est plus sensible aux services rendus, il ne recevra pas vraiment mon message.

Pour que nous puissions communiquer notre amour à l’autre, nous avons d’abord besoin de savoir à quoi LUI est sensible, ce qu’il aime, ce qu’il préfère. Alors notre message sera reçu dans toute son authenticité et sa sincérité ; là, la connexion s’épanouit. Même si, à la base, cette façon de communiquer n’est pas celle avec laquelle nous sommes le plus à l’aise.

Je pense qu’il en est de même concernant nos chiens. Comme nous, ils ont des préférences, des choses qu’ils aiment ou pas. Et comme nous, tout cela varie d’un moment à l’autre, selon l’humeur, les circonstances, l’état physique, etc.

Si nous souhaitons entrer en réelle communication avec eux, cela implique de connaître leurs préférences générales, mais aussi de nous adapter à leur état du moment (susceptible de changer rapidement) et à ce qu’ils nous disent ; c’est là que l’écoute devient primordiale, et que le dialogue commence.

Par exemple, si je caresse une de nos louloutes d’une manière qui d’habitude lui plait, mais qu’elle essaie discrètement de se soustraire au contact, qu’elle détourne le regard ou la tête, elle me dit sans doute qu’à ce moment-là, elle n’est pas réceptive à ça. Alors j’arrête mon geste et j’observe. Cela lui laisse la liberté de m’en redemander malgré tout, ou de me demander autre chose, ou encore de s’éloigner.

Tout cela revient en fait à quitter un mode machinal et mental, pour apprendre à être de plus en plus présent, à soi et à l’autre. C’est un processus, comment beaucoup d’autres choses. Pas un interrupteur on/off. Pas un programme qu’on allume ou qu’on éteint. C’est le lien entre deux cœurs qui s’apprennent et s’apprivoisent, y compris à travers les situations concrètes du quotidien.

C’est un des aspects du travail d’accompagnement que je vous propose: apprendre à communiquer avec nos chiens, avec respect et curiosité, pour renforcer le lien que vous partagez déjà avec lui.

N'hésitez pas à me contacter si cela vous intéresse!

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Je suis ici: cecile.ruelle@hotmail.com 0473 683 703

Excellente journée!

Cécile

cecile.ruelle@hotmail.com
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